Un nouveau témoignage au sein des parcours de reconversion avec Charline que j’ai accompagnée il y a maintenant un peu plus d’un an alors qu’elle était en expatriation en Finlande et qu’elle se posait des questions pour préparer son retour en France avec une volonté forte : ne pas retourner à son métier de professeur-documentaliste.
Charline va nous raconter son parcours de reconversion en énergéticienne, une évidence qui n’en était pas une !
Merci encore Charline pour cet échange qui a eu lieu un dimanche matin avec les participants des programmes Trouver Sa Voie, la Grande Aventure passés et en cours, que je retranscris donc ici à l’écrit.
Pourquoi une reconversion vers le métier d’énergéticienne ?
Bonjour, pour commencer, peux-tu nous nous dire pourquoi tu souhaitais changer de voie à ton retour en France ?
Alors au début, quand j’ai pris contact avec toi, j’étais complètement perdue. J’étais documentaliste dans un collège, j’ai fait ça pendant dix ans et j’ai franchement adoré ça au début. Mais il y a plein de choses qui font que c’était très pesant :
- la pression administrative, les réformes qui arrivent sans arrêt, la lourdeur pour mettre en place des projets,
- le quotidien avec les élèves me plaisait, mais tous les élèves sont tous différents, et nous sommes censés faire du « différencié » avec 30 élèves. Moi ça me rendait malade, j’avais des jours, je finissais 1 h de cours et j’avais envie de pleurer parce que j’avais bien vu qu’il en avait qui n’avaient rien compris.
- Le manque de reconnaissance globale, l’impression d’être un pion.
Donc faire ce métier devenait de plus en plus compliqué et quand on a proposé à mon mari une expatriation, on a dit oui tout de suite parce que j’avais vraiment besoin d’une pause.
Alors comment s’est passée cette pause justement ?
Je me suis dit que j’allais essayer de faire le point sur ce que je voulais faire d’autres. Je cherchais des informations, des idées sur internet, mais seule, j’avais du mal à avancer.
Puis le retour en France commençait à se préciser et il fallait que je refasse des vœux pour réintégrer un établissement scolaire. Et dès que j’y pensais, c’était l’horreur, j’avais la tête qui tournait, mais je ne voyais pas du tout ce que je pouvais faire d’autres avec ma licence d’histoire et d’archéologie et un CAPES de documentaliste, je me sentais complètement bloquée.
Et je suis « tombée » sur ton article sur l’Ikigaï. Et j’ai ensuite décidé de lancer un accompagnement avec toi, j’étais vraiment curieuse et inquiète parce que je me disais, « mais si ça n’aboutit sur rien, ça ne marchera pas ».
Alors, j’écrivais en introduction qu’une reconversion en énergéticienne est une évidence qui n’en était pas une !
Peux-tu partager la manière dont ce projet est devenu ton métier aujourd’hui ?
Je soulage les gens avec mes mains depuis 20 ans, mais pour les amis, la famille et je me disais que ça ne pourrait jamais être un métier. J’avais du mal à l’assumer. En fait, à chaque fois que ça fonctionnait, je me disais, « c’est incroyable, ça marche », mais, je suis très cartésienne, et je pensais qu’il y avait un mélange de hasard et d’effet placebo.
Donc, je n’assumais pas.
Je pensais que ça serait génial, mais ce n’est pas possible, donc j’ai lancé un accompagnement pour trouver une idée raisonnable !
Alors dans l’accompagnement, nous explorons « toutes les pistes » possibles, quelles sont les autres pistes plus raisonnables explorées et comment cela t’a aidée à oser ?
J’aime beaucoup la couture et je m’étais dit que nous allions probablement aller chercher des idées autour de cela et je t’en ai effectivement beaucoup parlé. Je n’étais pas non plus toujours honnête parce que effectivement, j’ai essayé de freiner pour que ça n’arrive pas sur énergéticienne !
Mais dans ton modèle QUOI / POURQUOI / COMMENT, le travail sur le pourquoi m’a « forcée » à me rendre compte que le bien-être, développement personnel, les plantes, l’énergétique, etc. sont clé pour moi.
Sur ce curseur du pourquoi, la couture ne tenait pas la route ! Je me suis rendue compte que j’aime coudre pour mes proches, pour leur faire plaisir, mais je n’ai pas du tout envie de devenir spécialiste sur ce thème, de me former tout le temps comme c’est le cas autour de l’énergétique. Je suis même boulimique de connaissances autour de ce thème.
Donc, tu as laissé un peu la porte s’entrouvrir à ce moment-là. Qu’est-ce qui t’a permis ensuite d’oser cette reconversion définitivement ?
Oui, j’ai laissé la porte s’entrouvrir, mais j’avais toujours des blocages autour de ce domaine :
- peur de l’image ésotérique, des « charlatans »
- de la légitimité : jusqu’ici, je faisais ça gratuitement pour mes proches, comment en faire un métier ?
- comment passer de l’intuitif à quelque chose de plus construit ? me former ? quelle formation ? j’avais des doutes sur l’efficacité.
Et là, mon fils est tombé sur le poêle du sauna et s’est brûlé tout le bras avec des parties au second degré. Et comme il avait quatre ans, ça faisait une grosse brûlure pour son corps. On est allé à l’hôpital, ils m’ont dit d’attendre un jour ou deux pour voir s’il y avait besoin d’une greffe de peau. Et je n’ai, à ce moment-là, pas hésité sur mon fils à pratiquer ce que je savais faire et à chaque fois qu’ils ouvraient le pansement à l’hôpital, ils trouvaient l’évolution incroyable. Après 15 jours de soins, ils m’ont dit que nous n’avions pas besoin de revenir, c’était terminé.
En fait, j’ai eu l’impression que le destin prenait une encyclopédie et me tapait sur la tête en me disant « tu vois, c’est ça alors, tu y vas » ! Et c’était assez horrible, mais ça m’a libérée.
Les enquêtes faites dans la dernière partie de l’accompagnement t’ont aussi aidée à te rendre compte que ça pouvait être un vrai métier, n’est-ce pas ?
Oui, j’ai contacté pas mal d’énergéticien/nne et c’était bizarre parce que ça m’a à la fois rassurée, parce que j’ai vu qu’il n’y avait pas mal de gens qui le faisaient et qui m’ont expliqué qu’ils en vivaient et comment et, en même temps, je me suis demandée comment faire ma place à moi au milieu des autres !
Mais j’ai aussi vu qu’il y avait différentes approches et que j’avais ma place à prendre avec mon approche plus « rationnelle » justement, cela peut rassurer toutes les personnes qui découvrent les soins énergétiques
Devenir énergéticienne : la formation
Alors, tu as parlé, comme beaucoup dans les reconversions, de la question de la légitimité. Tu pratiquais depuis des années, mais tu souhaitais mieux comprendre, mieux pratiquer, comment expliques-tu ce besoin ?
Oui, il y a la notion de don dans ce métier-là, mais tu te dis « Ok, j’ai cette capacité, mais je vais aller la travailler », pour être meilleure et effectivement pour la légitimité derrière.
Comment as-tu choisi ta formation puisque ce métier n’a pas de « reconnaissance » officielle ?
J’ai choisi une formation donnée par une personne qui avait le même point de vue que moi : il n’y avait pas de côté très magique ou très ésotérique, un peu « perché » qu’il peut y avoir des fois.
J’ai lancé cette formation une semaine après l’accident de mon fils et effectivement, ça a été génial : tout s’est « rangé » dans ma tête, j’ai appris des choses, mais surtout, j’ai compris pourquoi je ressentais telle ou telle chose.
Quel est le contenu d’une formation en énergétique ?
Il est difficile de généraliser. Il y a énormément (et de plus en plus) de formations dans ce domaine très à la mode !
Pour ma part, j’avais déjà mes 20 années de pratique. Et la formation que j’ai choisie était très complète. Il s’agit de l’École du magnétisme, niveau 1 et 2, de Charlotte Tisserant.
Il y avait beaucoup d’informations théoriques sur l’énergie et la façon dont elle circule, et ce qui m’a plus c’est que la formatrice avait une grande ouverture : formée au reiki, elle possède des notions de médecine chinoise, et connait beaucoup d’autres pratiques énergétiques. Je me suis rendue compte que quelle que soit la pratique, les fondements étaient les mêmes. Seule la forme changeait, et elle pouvait donc être très personnelle selon les praticiens, sans que cela soit un problème.
Dans cette formation, il y avait aussi beaucoup de pratique, des exercices donnés pour s’entrainer à ressentir l’énergie, pour apprendre à la « manipuler », mais aussi à la capter, à l’utiliser sans s’épuiser, etc. Dans tout cela, il y avait des choses que je connaissais déjà, et j’ai pu aller très vite, mais j’ai aussi pu progresser énormément sur certains points !
Enfin, il y a une partie beaucoup plus technique sur le protocole à suivre pour donner un soin complet, les différentes façons de placer ses mains ou bien d’écouter ses ressentis pour travailler à distance. Ce protocole m’a beaucoup rassurée au début, car même si cela ne m’était jamais arrivé, j’étais terrifiée à l’idée que quelqu’un vienne me consulter et que je ne sache pas quoi faire (quand j’y repense maintenant ça me fait un peu sourire !).
J’ai intégré ce protocole, mais désormais je m’en détache, je le module selon les besoins et c’est aussi ce que permet cette formation : grâce à toute la théorie que j’ai pu recevoir et que je combine à une écoute fine de mes ressentis, il est possible de donner un soin au plus proche des besoins.
Quels sont tes conseils pour bien choisir une formation en énergétique ?
Mon premier conseil est : attention aux formations ultra-courtes qui promettent de pouvoir s’installer comme praticien après quelques week-ends de formation. C’est un métier où les années de pratique et d’expérience sont essentielles presque autant que la théorie, j’en suis convaincue !
Après, il faut choisir une formation qui résonne avec notre façon d’appréhender cette pratique. Il y a tellement de manières de faire de l’énergétique qu’il faut trouver ce qui fait sens.
Donc ne pas hésiter à se renseigner, si possible contacter d’anciens élèves, voire le ou les formateurs. J’ai échangé par mail et par téléphone avec la formatrice et c’est ce qui m’a convaincue que j’avais trouvé la formation qui me correspondait.
Le métier d’énergéticienne
Donc, tu es rentrée en France et tu as décidé de te lancer ! Bravo déjà !
Un des gros défis est, comme pour beaucoup, de te faire connaître, d’avoir des clients. Nous avions commencé à travailler ensemble cet aspect pour notamment passer du « gratuit » au payant et proposer des offres « packagées ». Où est es-tu sur tous ces aspects ?
J’ai créé un site internet, une page Facebook.
J’écris des articles pour mon blog et j’ai une liste d’articles à venir très longue ! J’avais déjà ces compétences grâce à mon métier de documentaliste, comme quoi rien ne se perd !
J’avais un peu peur de tout l’administratif et franchement, ça a été très rapide et beaucoup plus simple que prévu.
Ensuite, j’ai toujours été très autonome, organisée et c’est super important pour développer son entreprise c’est un vrai plus, je n’ai aucun problème pour m’y mettre, pour me motiver, au contraire !
J’ai eu pas mal de monde pendant l’été par bouche-à-oreille et je suis très contente des débuts, mais mon plus gros défi est bien le rapport à l’argent et oser proposer mes offres « packagées » sans avoir l’impression de faire de la vente forcée.
L’enjeu, comme nous en parlions toutes les deux durant l’accompagnement, est clé ici puisqu’il s’agit bien de la réussite de ton entreprise derrière.
Il ne s’agit évidemment pas de vendre pour vendre, mais je suis sûre que, dans certains cas, tu ne peux pas tout résoudre en une séance comme c’est le cas pour moi. Et c’est bien ça que tu peux expliquer, packager et vendre comme nous l’avions préparé ensemble : pour la femme enceinte, pour les douleurs chroniques, etc.
Pour t’aider à lever ton syndrome de sauveuse ;-), que pensent nos aventuriers sur ce thème ? Se sentiraient-ils « volés » si tu leur proposais un pack de plusieurs séances ?
Les réponses ici des aventuriers qui participaient à notre échange ont été un grand NON ils ne se sentiraient pas « volés » ! Avec l’idée que l’efficacité peut arriver en une séance comme en plusieurs selon les cas et que cela peut très bien être expliqué dans la première séance en présentant un protocole de soins en plusieurs étapes comme l’a prévu Charline. Il n’y a bien sûr aucune obligation d’achat, mais cela semble logique et même rassurant puisque pas « magique » pour tous !
Nous avons ensuite échangé sur la manière la plus fluide pour Charline de présenter cela, sur les idées marketing, mais je garde quelques secrets 😉
Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier d’énergéticienne ?
J’adore permettre aux personnes qui viennent travailler avec moi de retrouver de la légèreté, qu’elle soit physique, mentale, émotionnelle…
Lorsqu’on me dit que ça va mieux, ou bien que la séance de soin était un moment particulier de bien-être, je sais que je suis à ma place en ayant choisi cette voie. J’ai toujours eu, même petite fille, cette envie que les gens se sentent bien, et lorsque je peux en être l’instrument de cela, quoi de plus merveilleux ?
J’aime aussi beaucoup cet état dans lequel je plonge lors d’un soin, comme un état de rêve éveillé (je sais désormais qu’il s’agit d’un état modifié de conscience). Lorsque je travaille, les choses sont fluides et évidentes, j’ai des ressentis physiques, mais aussi des images, et parfois des scènes entières qui peuvent se dérouler comme au cinéma (je travaille beaucoup les yeux fermés).
C’est incroyablement réaliste et fort, mais ce n’est pas quelque chose que je peux commander (en tout cas pas pour l’instant…). Parfois il n’y a que le ressenti dans les mains, et c’est déjà quelque chose de génial !
Quelles sont selon toi les qualités nécessaires ?
L’empathie, c’est sûr !
Mais attention à ne pas être une éponge non plus, car on ne peut pas absorber et porter la détresse ou la douleur des autres. Le travail consiste à aider le receveur du soin regarder son chemin différemment, à dégager ce chemin si besoin, mais pas marcher dessus à sa place !
L’écoute est aussi une qualité absolument nécessaire, mais là aussi, il faut savoir donner une limite, et ce n’est pas facile. Lorsque j’ai débuté, une personne m’a appelé pour prendre rdv, elle m’a parlé pendant 45 minutes !! et elle n’a pas pris rdv… (j’avais fait le soin à distance sans m’en rendre compte je crois 😂)
Autres qualités primordiales : le respect et la bienveillance, la capacité à ne porter aucun jugement, c’est ultra-important pour donner un soin de qualité. Si on juge, l’énergie que l’on transmet est « filtrée » par le jugement.
J’ajouterai le lâcher-prise et la confiance en soi. Être capable de croire en la véracité de ses ressentis. Parce que beaucoup de gens pensent que c’est spectaculaire ce qu’on ressent lorsqu’on est en contact avec l’énergie et le monde subtil… Mais on a bien dit « subtil » ! Et surtout au début, il faut tendre ses antennes et être très attentif pour percevoir. Par la suite, il arrive que ce soit fort, plus « palpable » ou « évident », mais si on manque de confiance, si on laisse nos peurs prendre le dessus, il y aura toujours un doute.
Pour le moment évidemment tu n’as pas retrouvé ton salaire de documentaliste. Comment te sens-tu par rapport à cela ?
La plupart de mes amis sont d’anciens collègues et quand ils me parlent du travail, je pense que j’aurais fait un burn out, j’allais déjà travailler en pleurant avant l’expatriation, et ça n’aurait pas été bon pour moi de continuer. Et je ne peux pas aller faire ça en mode alimentaire, aller s’occuper d’élèves qui sont là pour grandir et dire « ah c’est bien, ça va me permettre d’avoir un salaire ».
Donc, je n’ai aucun regret et je me dis qu’en ce moment, il y a des choses qu’on ne peut pas se payer, mais que bientôt ça ira mieux.
Et en fait, je suis tellement bien là où je suis. Je me dis je ne peux pas être ailleurs.
Et puis alors, chaque fois que je fais un soin à une personne, je me dis « Mais voilà, je crois que je suis née pour ça », ça me fait vibrer complètement.
Alors après ce message, je te pose ma question classique de fin, mais je n’ai aucun doute sur ta réponse ! Et si c’était à refaire ?
Je le referais !
Mon message, c’est qu’il faut croire dans l’accompagnement, c’est comme un petit chemin qui se dessine. La dernière séance, c’est une espèce de récapitulatif et pendant que je le faisais, je le relisais et je me disais « mais comment dès la première séance je n’ai pas vu que c’était vers ça que ça allait » !
Merci encore Charline pour ce partage !
Merci encore Charline pour ce partage !
Vous pouvez retrouver Charline sur son site internet
et la suivre sur la page Facebook des chemins de Charline
Pour aller plus loin
Pour aller plus loin sur les thèmes abordés avec Charline :
- pour Charline, comme pour Francoise avec la cuisine, (et moi avec le coaching !), le projet peut être déjà présent avant de commencer l’accompagnement. Ce n’est pas toujours le cas, mais cela arrive parfois avec la peur de se tromper, et beaucoup de freins comme pour Charline, Francoise et moi donc, sur la faisabilité du projet. Dans ce cas, l’accompagnement permet d’aller valider ou invalider le projet en :
- apprenant à se connaître et en voyant sous tous les aspects : ce que vous aimez faire, vos centres d’intérêts, vos valeurs, la manière dont vous aimez travailler …
- allant chercher d’autres idées
- en étudiant concrètement sur le terrain les projets
Et c’est alors en « comparant » ce projet de coeur qui fait peur avec d’autres, en ayant aussi des informations réelles concrètes et non fantasmées que vous pouvez décider d’y aller ou pas.
- Charline parle de l’importance pour elle du POURQUOI, le sens a été clé pour elle. Si vous avez envie d’aller plus loin sur cette thématique je vous propose :
- Enfin Charline est confrontée à la « difficulté » classique de se vendre et la réussite d’un projet se joue aussi ici puisque trouver un projet n’est bien que le début de l’aventure ! C’est la raison pour laquelle je vous accompagne sur cette partie clé dans les programmes Envole Moi Entrepreneur à travailler votre offre, votre clientèle cible et les moyens de vous faire connaître avec un objectif simple : les premiers euros au plus vite !
Je vous propose ensuite de réfléchir aux critères clés pour vous dans votre futur projet à travers ce guide OFFERT :
Si vous sentez que vous avez besoin
- d’aller plus loin dans le démêlage,
- de valider que ce projet est le bon
c’est ce que nous faisons dans le programme TROUVER SA VOIE, la Grande Aventure !
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